Tout qui n'a pas su me reconnaître Ignorant ma vie, ce monastère, j'ai Devant moi une porte entrouverte Sur un peut-être Même s'il me faut tout recommencer
Toi qui n'as pas cru ma solitude Ignorant ses cris, ses angles durs, j'ai Dans le coeur un fil minuscule Filament de Lune Qui soutient là, un diamant qui s'use... Mais qui aime
J'n'ai pas choisi de l'être Mais c'est là, "l'Innamoramento" L'amour, la mort, peut-être Mais suspendre le temps pour un mot Tout se dilate et cède à tout Et c'est là, "l'Innamoramento" Tout son être s'impose à nous Trouver enfin peut-être un écho
Toi qui n'a pas vu l'autre côté, de Ma mémoires aux portes condamnées, j'ai Tout enfoui les trésors du passé Les années blessées Comprends-tu qu'il me faudra cesser...
Moi qui n'ai plus regardé le ciel, j'ai Devant moi cette porte entrouverte, mais l'inconnu a meurtri plus d'un coeur Et son âme soeur On l'espère, on l'attend, on la fuit même Mais on aime
J'n'ai pas choisi de l'être Mais c'est là, "l'Innamoramento" L'amour, la mort, peut-être Mais suspendre le temps pour un mot Tout se dilate et cède à tout Et c'est là, "l'Innamoramento" Tout son être s'impose à nous Trouver enfin peut-être un écho.
Je me fous de tes détresses comme de tout et comme du reste...' C'est ça le temps qui passe 'Je me fous de tes angoisses elles m'ont nourrie mais me lassent...' C'est ça, c'est le temps qui passe 'Je fais fi de tes 'je t'aime', ils sont des cris qui m'enchaînent...' C'est ça l'amour C'est quoi l'amour ? 'tu ne vis pas, c'est morbide' En somme, je suis pathétique, C'est ça l'amour Papa n'était pas comme ça, quand...
Il disait tout bas : 'Petit bouton de rose, aux pétales humides, un baiser je dépose' Optimistique-moi, Papa Optimistique-moi, quand j'ai froid Je me dis, tout bat Quand rien ne s'interpose, Qu'aussitôt, tes câlins Cessent toute ecchymose Optimistique-moi, Papa Optimistique-moi, reviens-moi...
'Tu te fous de mes ténèbres comme de tout, et comme du reste...' C'est ça, le temps qui passe 'Fais fi des signes du ciel seuls les faits, sont ton bréviaire...' C'est ça le temps qui passe Tu dis : 'assez des histoires Ton passe est préhistoire...' C'est ça l'amour C'est quoi l'amour ? Crucifie-moi Ponce Pilate Noie-toi dans l'eau écarlate L'amour est loin Papa était plus malin, quand
Il disait tout bas : 'Petit bouton de rose, aux pétales humides, un baiser je dépose' Optimistique-moi, Papa Optimistique-moi, quand j'ai froid Je me dis, tout bat Quand rien ne s'interpose, Qu'aussitôt, tes câlins Cessent toute ecchymose Optimistique-moi, Papa Optimistique-moi, reviens-moi...
Il disait tout bas : 'Petit bouton de rose, aux pétales humides, un baiser je dépose' Optimistique-moi, Papa Optimistique-moi, quand j'ai froid Je me dis, tout bat Quand rien ne s'interpose, Qu'aussitôt, tes câlins Cessent toute ecchymose Optimistique-moi, Papa Optimistique-moi, reviens-moi...
Il disait tout bas : 'Petit bouton de rose, aux pétales humides, un baiser je dépose' Optimistique-moi, Papa Optimistique-moi, quand j'ai froid Je me dis, tout bat Quand rien ne s'interpose, Qu'aussitôt, tes câlins Cessent toute ecchymose Optimistique-moi, Papa Optimistique-moi, reviens-moi...
Quand le vent a tout dispersé Souviens-toi Quand la mémoire a oublié Souviens-toi
Souviens-toi que l'on peut tout donner Souviens-toi que l'on peut tout briser Et si c'est un Homme... Si c'est un Homme Lui parler d'amour à volonté D'amour à volonté
Souviens-toi que l'on peut tout donner Quand on veut, qu'on se rassemble Souviens-toi que l'on peut tout briser Les destins sont liés Et si c'est un Homme... Si c'est un Homme Lui parler d'amour à volonté D'amour à volonté
Le souffle à peine échappé Les yeux sont mouillés Et ces visages serrés Pour une minute Pour une éternité Les mains se sont élevées Les voix sont nouées Comme une étreinte du monde A l'unisson A l'Homme que nous serons...
Souviens-toi que le monde a changé Au bruit des pas qui résonnent Souviens-toi des jours désenchantés Aux destins muets Et si c'est un Homme... Si c'est un Homme Lui parler d'amour à volonté D'amour à volonté
Le souffle à peine échappé Les yeux sont mouillés Et ces visages serrés Pour une minute Pour une éternité Les mains se sont élevées Les voix sont nouées Comme une étreinte du monde A l'unisson A l'Homme que nous serons...
Le souffle à peine échappé Les yeux sont mouillés Et ces visages serrés Pour une minute Pour une éternité Les mains se sont élevées Les voix sont nouées Comme une étreinte du monde A l'unisson A l'Homme que nous serons...
Le souffle à peine échappé Les yeux sont mouillés Et ces visages serrés Pour une minute Pour une éternité Les mains se sont élevées Les voix sont nouées Comme une étreinte du monde A l'unisson A l'Homme que nous serons...
Quand le vent a tout dispersé Souviens-toi Quand la mémoire a oublié Souviens-toi
22ème: Je te rends ton amour [Version Censurée et non Cénsurée]
04/08/2009 17:19
M'extraire du cadre Ma vie suspendue Je rêvais mieux Je voyais l'âtre Tous ces inconnus Toi parmi eux
Toile, fibre qui sointe Des meurtrissures Tu voyais l'âme Mais j'ai vu ta main Choisir Gauguin
Et je te rends ton amour Redeviens les contours Je te rends ton amour C'est mon dernier recours Je te rends ton amour Pour moi, Pour toujours Redeviens les contours La femme nue debout
M'extraire d'humeur La vie étriquée Tu m'écorchais J'ai cru la fable D'un mortel aimé Tu m'as trompé
Toi, tu m'as laissé Me compromettre Je serai l'unique Pour des miliers d'yeux A nue de maîtres
Et je te rends ton amour Pour moi, pour toujours Je te rends ton amour Le mien est trop lourd Je te rends ton amour C'est plus flagrant le jour Ses couleurs se sont diluées Je reprends mon amour Redeviens les contours De mon seul maître Egon Shiele
Et je te rends ton amour Pour moi, pour toujours Je te rends ton amour Le mien est trop lourd Je te rends ton amour C'est plus flagrant le jour Ses couleurs se sont diluées
Et je te rends ton amour Pour moi, pour toujours Je te rends ton amour Le mien est trop lourd Je te rends ton amour C'est plus flagrant le jour Ses couleurs se sont diluées Je reprends mon amour Redeviens les contours De mon seul maître Egon Shiele Je reprends mon amour Redeviens les contours De mon seul maître Egon Shiele
En moi, en moi, toi que j'aime Dis moi, dis moi, quand ca ne va pas Il n'y a que ca qui nous gouverne Dis moi combien de fois...
Partager mon ennui le plus abyssal Au premier venu qui trouvera ca banal
J'ouis tout ce que tu confesses Et l'essaim scande l'ivresse J'ouis tous ceux que tu condamnes T'éreintent, te font du charme
C'est L'AME STRAM GRAM
En moi, en moi, toi que j'aime Dis moi, dis moi quand ca ne va pas Il n'y a que ca qui nous gouverne Dis moi combien de fois...
En moi, en moi, toi que j'aime Dis moi, dis moi quand ca ne va pas Imisce, et glisse l'abdomen Dans l'orifice à moi
Des absents, un bourdon, une oreille amie Confidences sur divan, on se psychanalyse...
J'ouis tout ce que tu susures Et l'essaim bat la mesure J'ouis tes oedipes complexes Et l'essaim se manifeste
C'est L'AME STRAM GRAM
Am Stram Gram Pique et Pique Et Collegram Bourre et Bourre et Ratatam Âme Stram Gram pique dame Am Stram Gram Pique Et Pique Moi dans l'Âme Bourrée Bourrée De Noeuds Mâles L'Âme Stram Gram pique dames
En moi, en moi, toi que j'aime Dis moi, dis moi quand ca ne va pas Il n'y a que ca qui nous gouverne Dis moi combien de fois...
En moi, en moi, toi que j'aime Dis moi, dis moi quand ca ne va pas Imisce, et glisse l'abdomen Dans l'orifice à moi
En moi, en moi, toi que j'aime Dis moi, dis moi quand ca ne va pas...